La planète est entrée dans un état d’urgence avec un risque sans précédent de dommages pour l’humanité et l’environnement. Le réchauffement climatique et l’effondrement de la biodiversité ont des conséquences fatales à une échelle exponentielle. Une action urgente est nécessaire à tous les niveaux – partout et maintenant – afin de confronter la menace.
Pour atteindre l’objectif de zéro émission nette d’ici 2050, les émissions de GES doivent déjà être réduites de 50 % d’ici 2030. Comme pour un budget équilibré à long terme, il est essentiel de prendre des mesures de réduction immédiates, concrètes et continues, sinon l’objectif ne pourra jamais être atteint dans les délais impartis. Alors on commence ?
Low costs of wind and solar power helped renewables pass coal in electricity generation; gas remains the leader.
Source : Inside Climate News
Pollution from power plants, vehicles and other sources accounted for one in five of all deaths that year, more detailed analysis reveals
Source : The Guardian
As offshore oil and gas platforms come to the end of their working lives, the remarkable ecosystems beneath the waves come into their own.
Source : BBC Future Planet
Our food system has been shaped over past decades by the ‘cheaper food’ paradigm.
Policies and economic structures have aimed to produce ever more food at ever
lower cost. Intensified agricultural production degrades soils and ecosystems,
driving down the productive capacity of land and necessitating even more intensive
food production to keep pace with demand. Growing global consumption
of cheaper calories and resource-intensive foods aggravates these pressures.
As a major contributor to global greenhouse gas emissions, our food system is
also driving climate change, which further degrades habitats and causes species
to disperse to new locations. In turn, this brings new species into contact and
competition with each other, and creates new opportunities for the emergence
of infectious disease.
Source : Chatham House
Les panneaux photovoltaïques cohabitent avec la végétalisation afin de produire de l’énergie verte tout en protégeant les bâtiments. Le Grand JD nous emmène sur les toitures de l’HEPIA – Haute École du paysage, d’ingénierie et d’architecture de Genève – où cette aventure commence. Ce projet est financé grâce au Fonds Vitale Environnement, alimenté par les Genevois·es ayant choisi Electricité Vitale Vert.
Source : SIG
Not all of the water from the planet’s melting glaciers is pouring into rivers and oceans. A surprising amount is building up behind unstable piles of rubble left behind by the retreating ice. As the Earth continues to warm, the swelling lakes threaten to burst through the glacial moraines holding them back and wash away the forests, towns and farms below.
Source : Inside Climate News
Want to capture the attention of millions of young people and raise awareness about the climate emergency? Then talk to the video gaming industry.
Levelling up, going faster, scoring higher and taking on the impossible is not just what it takes to achieve gaming stardom. They are exactly what it will take to confront urgent global challenges.
A recent report by the UN Environment Programme (UNEP) and partners analyses the impact of the Playing for the Planet Alliance, an initiative that taps the power of the gaming industry to encourage action on climate change. Supported by UNEP, GRID-Arendal and Playmob, the alliance brings together 29 major gaming companies, which can reach over 1.2 billion players.
Source : UNEP
“The survey brings the voice of
the people to the forefront of the
climate debate. It signals ways in
which countries can move forward with
public support as we work together to
tackle this enormous challenge.”
Achim Steiner, Administrator,
United Nations Development Programme
With 1.2 million respondents, the Peoples’ Climate Vote is the largest survey of public opinion on
climate change ever conducted. Using a new and unconventional approach to polling, results
span 50 countries1
covering 56% of the world’s population
Source : UNDP
Earth was besieged by a record 50 billion-dollar weather disasters in 2020, the most such disasters ever recorded after adjusting for inflation, said insurance broker Aon (formerly called Aon Benfield) in its annual report issued January 25. The previous record was 46 billion-dollar weather disasters, set in 2010 and 2011. The annual average of billion-dollar weather disasters since records began in 1990 is 29.
Source : Yale Climate Connections
Earth’s ice is melting faster today than in the mid-1990s, new research suggests, as climate change nudges global temperatures ever higher. Altogether, an estimated 28 trillion metric tons of ice have melted away from the world’s sea ice, ice sheets and glaciers since the mid-1990s. And the annual melt rate is now about 57 percent faster than it was three decades ago.
Source : Reuters
The future of electric vehicles is batteries, batteries, batteries. That means a lot of mining for nickel, lithium, cobalt, and other minerals. Indeed, with the enormous growth in demand expected in the electric vehicle industry in the coming years, there’s concern about securing enough battery supplies to meet demand. One solution that will increase as the industry grows and EVs on the road get older is battery recycling.
Source : Clean Technica
Anyone with even a passing interest in the global environment knows all is not well. But just how bad is the situation? This new paper shows the outlook for life on Earth is more dire than is generally understood.
Source : The Conversation
Pour maintenir le réchauffement climatique en dessous de 1,5°, nous devons à tout prix éviter d’épuiser notre budget carbone. Toutes les organisations doivent donc réduire leurs émissions autant que possible – et le plus rapidement possible – afin de se conformer à l’avertissement du rapport spécial du GIEC de limiter le réchauffement climatique à 1,5 °C. Au niveau actuel des émissions, ce budget sera épuisé d’ici quelques années et bien avant 2030. Chaque instant compte et le compte à rebours ne s’arrête pas. Il est donc temps d’agir dès aujourd’hui.
Le Carbon Clock du MCC indique la quantité de CO2 qui peut être libérée dans l’atmosphère pour limiter le réchauffement climatique à un maximum de 1,5°C et 2°C, respectivement. Une fois le temps restant écoulé, ces seuils seront dépassés. En quelques clics seulement, vous pouvez comparer les estimations pour les deux objectifs de température et voir combien de temps il reste dans chaque scénario.
L’empreinte carbone mondiale totale en 2019 due aux émissions humaines était d’environ 37 gigatonnes d’équivalent CO2. Ces énormes émissions sont l’accumulation de nombreux et nombreux … milliards de grandes et petites émissions qui sont le résultat des modes de vie et de consommation.
Pour atteindre zéro émissions nettes d’ici 2050, l’empreinte carbone individuelle ne devrait pas dépasser 700 kg/an d’équivalent CO2.
Actuellement l’empreinte individuelle moyenne en Suisse est de 14 t d’équivalent CO2. Cela signifie que nous devrions diviser notre empreinte carbone par 20. Commençons et relevons le défi dès aujourd’hui.
Voici l’empreinte carbone de certains aspects de la vie quotidienne, que ce soit la production de biens ou la consommation de services (valeurs moyennes):
33 kg peuvent être comparés au poids d’une meule de fromage. Cela signifie que pour chaque smartphone produit, nous envoyons une meule de fromage dans l’atmosphère …
160 g peut être comparé au poids d’une banane. Cela signifie que pour chaque kilomètre parcouru en voiture, nous envoyons une banane CO2 dans l’atmosphère…
Imaginez un peu comment ce serait si ces bananes étaient laissées sur les routes…
Sources | Co2 Equivalent kg |
---|---|
One car | 4000 - 7000 |
One personal computer | 165 |
One smartphone | 33 |
One e-mail | 0.020 |
One kg of office paper | 1.2 |
One Plastic bottle (33 cl.) | 0.070 |
Vegetarian meal | 1.7 |
Non-vegetarian meal | 3.6 |
Coffee (1cup) | 0.113 |
Green Electricity (kWh) | 0.007 |
1 km by petrol car | 0.160 |
1 km by train (in Switzerland) | 0.007 |
L’empreinte carbone n’est qu’une partie de l’impact des êtres humains sur la planète Terre. Pour avoir un aperçu de notre impact global, regardez le graphique ci-dessous.
Nous devons également garder à l’esprit la rapidité avec laquelle notre impact s’est accru. La Terre, notre seul habitat disponible, est apparue il y a environ 4,5 milliards d’années. Les ancêtres des êtres humains sont apparus pour la première fois il y a moins de 10 millions d’années.
En d’autres termes, si vous comprimiez toute l’histoire de la Terre en 24 heures, les premiers Homo sapiens n’arriveraient que dans les dernières secondes et l’avènement de l’agriculture ne serait qu’un clignement d’œil avant minuit.
Pour en savoir plus, suivez Living in the Age of Humans, une série de reportages qui examinent les impacts de la présence humaine sur la Terre.
Les principales catégories de changements environnementaux sont exprimées en pourcentage par rapport à une base de référence intacte. Le rouge indique le pourcentage de la catégorie endommagée, perdue ou autrement affectée ; le bleu indique le pourcentage intact, restant ou non affecté. Frontiers in Conservation Science