L’Ambassadrice Ifkovits Horner est titulaire d’un baccalauréat en sociologie de l’Université de Genève et d’un master en relations internationales de l’Institut de recherche universitaire Ortega y Gasset de l’Université Complutense de Madrid.
Marcello Cangialosi soutient, avec son équipe, le développement des projets des bénéficiaires institutionnels de la loi sur l’État hôte et facilite leurs interactions avec les autorités suisses dans les domaines de l’immobilier, de l’acquisition de terrains, des infrastructures et de l’activité conférencière internationale. Il participe également activement à la promotion de la Genève internationale et au renforcement de ses conditions cadres (digitalisation, sécurité, durabilité).
Avant d’occuper ce poste, M. Cangialosi a occupé plusieurs postes au sein du Département fédéral des affaires étrangères (DFAE). Il a notamment travaillé à la Division ONU du Secrétariat d’État à Berne, pour l’Aide humanitaire de la Direction du développement et de la coopération (DDC) et au sein de la Division des affaires multilatérales de la Mission suisse auprès de l’ONU à Genève.
M. Cangialosi est titulaire d’une maîtrise en histoire économique de l’Université de Genève.
Rémy Zinder est le Directeur de la Direction de la durabilité et du climat (DDC), dont les missions principales sont de piloter et coordonner la mise en œuvre de la loi sur l’action publique en vue d’un développement durable (Agenda 21); de piloter et coordonner la stratégie climatique cantonale (Plan climat cantonal 2030); d’assurer la transversalité et la cohérence de l’action publique en matière de durabilité et de protection du climat; et de soutenir et accompagner à la mise en œuvre des principes de durabilité par les autorités, les entités publiques et parapubliques, les entreprises et les citoyens en mettant à disposition des outils pratiques, de l’expertise ou encore des formations.
Rémy est titulaire d’un Master en Sciences et Ingénierie de l’Environnement de l’École Polytechnique Fédérale de Lausanne et d’un Master en Economie et Géographie de l’Université de Genève.
Géographe, master en études du développement. Il a travaillé comme chercheur à l’UNIGE, coordinateur pour l’ONG Service Civil International, chargé de projet pour la DDC ainsi qu’aux affaires humanitaires de l’ONU
Il œuvre depuis 2012 à l’Etat de Genève pour la prospective, l’aménagement du territoire et l’amélioration des conditions-cadres pour le développement de la Genève internationale.
Julie Schnydrig Kettenacker est cheffe du service Agenda 21 – Ville durable depuis août 2023. Avant d’occuper ce poste, elle a été présidente de Pro Natura Genève et responsable du secteur de la petite enfance à la Ville de Carouge.
Elle est titulaire d’une licence en psychologie à l’Université de Genève.
Le Professeur Sébastien Castelltort est Vice-recteur de l’Université de Genève, en charge du dicastère Recherche et durabilité.
Titulaire d’un doctorat en sciences de la Terre de l’Université de Rennes obtenu en 2003, Sébastien Castelltort a rejoint la Faculté des sciences de l’Université de Genève en 2011. Nommé professeur associé en sédimentologie comparative et processus de surface au Département des sciences de la Terre, il assume la fonction de directeur du Département de 2019 à 2022. En 2021, il est promu professeur ordinaire et prend en 2023 la présidence de la Section des sciences de la Terre et de l’environnement.
Laurent Cherbut dirige, depuis 2014, une équipe de Key Account Managers qui gèrent les relations entre SIG et les principales grandes entités basées sur le Canton de Genève (organisations internationales, entreprises, état, villes et communes, régies publiques), concernant tous leur domaines d’activités (eau, électricité, gaz, thermique renouvelable, fibre optique, programme d’économie d’énergie eco21 etc).
Avant d’occuper cette position, M. Cherbut a développé au sein de SIG une unité technico-commerciale permettant l’accélération du « moins et du mieux consommer » de l’énergie, et a occupé plusieurs fonctions de Manager dans des entreprises du domaine des services énergétiques et services informatiques.
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Le périmètre de l’inventaire 2050Aujourd’hui est fixé à l’achat d’électricité du réseau (en kWh) directement par l’institution ou par l’intermédiaire de l’entité qui gère l’installation. Si l’électricité est produite (par des panneaux solaires photovoltaïques par exemple) et consommée sur place, elle est également prise en compte dans l’inventaire. Toutes les émissions provenant de l’électricité du réseau achetée et consommée par l’institution font partie du champ d’application 2. Parmi l’électricité produite et consommée sur place, les émissions provenant des installations de production combinée de chaleur et d’électricité, du pétrole et du gaz naturel font partie du champ d’application 1.
Selon le GHG Protocol, si une institution peut obtenir des données spécifiques à un produit sous la forme de garanties d’origine, de certificats, de contrats ou d’autres instruments contractuels, elle déclarera deux totaux de champ 2 pour l’inventaire global des GES : l’un basé sur le marché et l’autre basé sur l’emplacement. Afin de refléter le plus fidèlement possible la réalité physique des émissions de GES, 2050Aujourd’hui rapporte les émissions basées sur la localisation.
La méthode basée sur la localisation est calculée à l’aide de l’outil d’évaluation Horocarbon UNIGE pour mesurer le facteur d’émission moyen du réseau pour Genève.
Nous avons ensuite catégorisé l’électricité achetée au réseau en fonction de sa source. Pour l’électricité achetée à SIG, elle comprend différents types de produits tels que Electricité Vitale Bleu ou Electricité Vitale Soleil. Il peut également y avoir une part d’électricité provenant du charbon, du pétrole, du solaire ou de l’éolien. Dans cet inventaire, les institutions peuvent remplir le tableau correspondant avec des données basées sur la source de production de l’électricité qu’elles ont achetée.
La méthodologie de l’empreinte carbone de 2050Aujourd’hui ne prend en compte que la méthode basée sur la localisation, ou en d’autres termes les émissions de l’électricité du réseau. Les données spécifiques aux produits peuvent être fournies par le biais du formulaire de saisie des données à des fins d’information et référencées en conséquence, mais elles ne sont pas prises en compte dans les calculs de GES.
Pour cette catégorie, la quantité de la source d’énergie consommée pour chauffer et/ou refroidir le bâtiment de l’institution est incluse (par exemple, litres de mazout, m3 de gaz naturel, kWh d’électricité). Si l’institution bénéficie du système GeniLac, elle peut indiquer la quantité totale d’eau utilisée par le système au cours de l’année.
Si une institution achète des services de chauffage ou de refroidissement auprès d’un chauffage urbain ou d’un produit SIG, cette partie des émissions appartiendrait au champ d’application 2. Si une institution produit du chauffage ou de la climatisation sur site à partir de sources d’énergie telles que le gaz naturel ou le pétrole, cette partie des émissions appartiendrait au champ d’application 1. Nous avons également catégorisé le chauffage et le refroidissement en fonction de leur source, afin que les institutions puissent remplir le tableau correspondant avec des données basées sur la source de production.
Le périmètre de refroidissement comprend également l’utilisation de réfrigérants pour la climatisation. Si les réfrigérants, qui font partie des GES, fuient ou sont libérés directement dans l’atmosphère, cette partie des émissions fait partie du champ d’application 1. Si l’on considère la chaîne de valeur de la production de réfrigérants, elle appartient au champ d’application 3.
Le périmètre de l’inventaire 2050Aujourd’hui est fixé à la consommation d’eau par l’institution. La méthode nécessite la collecte de données sur l’eau en m3 ou en litres. Les émissions liées à la consommation d’eau appartiennent au champ d’application 3.
Le secteur de la mobilité est divisé en deux catégories en fonction de la propriété des véhicules. Les émissions provenant du transport dans des véhicules possédés ou loués par l’institution sont comptabilisées dans le champ d’application 1 (pour la consommation de carburant) ou le champ d’application 2 (pour la consommation d’électricité), tandis que les émissions provenant du transport dans des véhicules non contrôlés par l’institution (par exemple, les voyages d’affaires des employés et les déplacements domicile-travail des employés) font partie des émissions de GES du champ d’application 3. L’institution doit être particulièrement prudente si elle possède des véhicules électriques afin d’éviter un double comptage des émissions de GES (la consommation d’électricité des véhicules électriques pourrait être déjà incluse dans la consommation d’électricité du bâtiment).
Les données sur les trajets domicile-travail des employés sont collectées au moyen d’un questionnaire flash en ligne envoyé directement aux employés des institutions. Les données de cette section font partie des émissions de GES du champ 3, catégorie 7 (déplacements domicile-travail des employés). Ces données anonymes sont traitées directement par 2050Aujourd’hui et seront rapportées dans le calcul de l’empreinte carbone globale des institutions.
Un résumé de la flotte de véhicules est demandé, et la méthode requiert la collecte de données sur les distances parcourues (km) ou sur la consommation de carburant (kWh d’électricité ou litres d’essence, de diesel, de gaz naturel ou de biocarburant) par type de véhicule.
Les données relatives aux déplacements professionnels et aux déplacements domicile-travail des employés sont collectées à des fins de déclaration. Les données de cette section font partie des émissions de GES du champ d’application 3, catégorie 6 (déplacements professionnels). Les données sur la mobilité terrestre, tout comme les données sur les véhicules appartenant à l’institution, sont collectées pour les distances parcourues (km) ou pour la consommation de carburant (kWh d’électricité ou litres d’essence, de diesel, de gaz naturel ou de biocarburant) par type de véhicule. Pour la mobilité aérienne, la méthode exige que l’institution partage des informations sur les distances parcourues (km cumulés) et/ou les émissions de GES associées (tCO2-eq.). La part des vols compensés peut également être insérée dans le formulaire.
Pour les vols, 2050Aujourd’hui utilise les facteurs de Mobitool version 3.0 pour estimer les émissions de GES. Le calcul est basé sur la méthode Atmosfair qui inclut les références et la méthode de l’OACI. Outre les émissions de CO2 pures, il existe également des émissions non CO2 pour les vols, qui sont également enregistrées, calculées et rapportées avec leur impact sur le climat selon la méthode Atmosfair. Cette méthode utilise les dernières connaissances de la science du climat selon le GIEC et la littérature évaluée par les pairs.
Le nombre de nuits d’hôtel des employés dans le cadre d’un voyage d’affaires est inclus dans le périmètre Mobilité. Cette partie des émissions appartient au champ d’application 3.
Ce secteur comprend des indicateurs sur la consommation d’aliments et de boissons offerts par l’institution. Il comprend la nourriture et les boissons servies à la cafétéria de l’institution et/ou lors d’événements internes. Ces indicateurs font également partie des émissions du champ d’application 3, catégorie 1 avec une limite » du berceau à la porte « . La consommation alimentaire individuelle des employés pendant les heures de travail est également mesurée.
Dans ce secteur, 2050Aujourd’hui utilise également la méthode des données moyennes.
Le paramètre de ce secteur est défini par une liste de nouveaux équipements de bureau, de nouveaux équipements de mobilité (véhicules) et de matériaux de construction. Les indicateurs énumérés font partie des émissions de GES du champ d’application 3, catégorie 1 (Biens et services achetés) avec une limite « du berceau à la porte » ou « en amont » (extraction, production et transport des biens achetés ou acquis par l’institution déclarante au cours de l’année).
Pour calculer les émissions des biens et services achetés, 2050Aujourd’hui utilise la méthode des données moyennes, c’est-à-dire qu’elle estime les émissions des biens et services en recueillant des données sur la masse (par exemple, les kilogrammes ou les livres), ou d’autres unités pertinentes de biens ou services achetés, et en les multipliant par les facteurs d’émission secondaires pertinents (par exemple, la moyenne de l’industrie) (par exemple, les émissions moyennes par unité de bien ou de service).
Le périmètre de l’inventaire des déchets 2050Aujourd’hui est fixé à la production de déchets provenant des installations et des opérations internes de l’institution au cours de l’année déclarée. Seul le traitement des déchets dans les installations détenues ou exploitées par des tiers est inclus dans le champ d’application 3. La méthode exige la collecte de données sur les quantités de déchets par type de déchets (par exemple, papier, PET, métal, biodégradable) et par type de traitement et d’élimination (recyclé/réutilisé et non recyclé). L’inventaire des déchets fait partie des émissions du champ d’application 3, catégorie 5 (déchets générés dans le cadre des opérations). Le traitement des déchets générés dans le cadre des opérations est classé dans une catégorie du champ d’application 3 en amont, car les services de gestion des déchets sont achetés par l’institution déclarante.